La pandémie révolutionnaire de la COVID-19 semble ne pas avoir fini de défrayer les chroniques. Alors qu’une trouvaille de vaccin a été faite et que les frontières du mal reculaient considérablement, un nouveau variant a fait son apparition : Omicron, un mal survenu au moment même de la recrudescence des cas de COVID-19. S’il s’agit indéniablement d’une nouvelle restant en travers de la gorge, l’ensemble des spécialistes dont le Dr Eric Fallet pensent qu’il y a encore et toujours de l’espoir. Découvrons-en plus dans la suite !
Omicron : le variant contagieux
Désormais majoritaire sur le territoire français et ses alentours, le variant de la COVID-19, Omicron, est un mal très contagieux. Cette maladie, dont les symptômes sont plus légers que le coronavirus, serait très contagieuse, d’après les expertises réalisées par les représentants médicaux. Contrairement à Delta, l’autre variante de la pandémie, il comporte un avantage de croissance et se propage rapidement. À cet effet, le Conseil Scientifique affirme qu’une telle vitesse de propagation du virus est due à un échappement immunitaire se trouvant en lien avec les transformations localisées sur les spicules, précisément au niveau de la zone protéinée. La variante Omicron possède des capacités réplicatives dupliquées et augmentées. Si la variante Delta était jugée beaucoup plus transmissible que la variante Alpha de la COVID-19 en 2020 (60%), il s’avère que la variante Omicron est trois fois plus contagieuse. Une grande prudence est vivement recommandée face à cette nouvelle mutation de la terrible et affligeante pandémie survenue en décembre 2019.
Des nouvelles rassurantes face à la contagion
Si le contexte sanitaire n’est pas idéal, reconnaissons toutefois qu’il y a des nouvelles rassurantes face à la vague de la variante Omicron. En effet, des études scientifiques menées avec brio sur la maladie au cœur du Royaume-Uni ont prouvé que ce virus se révèle moins dangereux que le coronavirus en ce sens qu’il se manifeste sous des formes moins gravissimes.
Moins dangereux que la variante Delta, la variante Omicron causerait moins de dommages aux sujets. Les personnes touchées par cette maladie passeraient notamment moins de temps en termes d’hospitalisation. La durée serait moins longue et le besoin en oxygène serait ainsi moins important que celui exprimé par les personnes ayant été atteintes par la variante Delta ou encore la COVID-19. La dose de rappel du vaccin est également bien plus efficace (88%). Ainsi, trois doses de vaccin seraient suffisantes pour éviter des trajets à l’hôpital. Les risques sont réduits d’environ 10%. Toutefois, remarquons que la protection prise contre la variante Omicron est éprouvée après un délai de six (6) mois.
La vigilance des hôpitaux
Quand bien même le virus présente des risques amoindris, les hôpitaux ne relâchent pas la pression. Omicron est plus transmissible que les précédentes formes de virus. Les autorités médicales comme Éric Fallet, directeur de l’Hôpital Joseph Ducuing à Toulouse, préconisent la plus grande prudence chez tous les citoyens lambdas. Une recrudescence des cas de coronavirus, en l’occurrence Omicron, aurait des répercussions terribles sur les conditions d’hospitalisation et de réanimation des patients. Une grande vigilance et le respect des mesures barrières sont donc recommandés.