Depuis la nuit des temps, le cancer de la prostate sévit en mal absolu décimant la gent masculine. Progrès technique oblige, on assiste désormais à l’essor de nouveaux traitements face à ce genre de pathologies.

L’importance du diagnostic

La science a fait d’incontestables progrès et il est bien plus facile de remédier au cancer de la prostate qu’aux siècles précédents. Cependant, nous devons garder à l’esprit qu’il est important de subir des tests déterminant oui ou non l’apparition du mal dans l’organisme. En effet, si le cancer de la prostate est une maladie terrible, il n’en est pas moins avéré que toutes les formes du mal ne nécessitent pas de traitements drastiques. L’existence des microfoyers de cellules cancéreuses responsables de plusieurs pathologies qui touchent la prostate en petite quantité dans l’organisme n’est pas alarmante, mais peut être rapidement traitée grâce au traitement de surveillance active. Ainsi, il faut toujours faire son bilan urologique pour connaître son état de santé. 

La radiothérapie et la chirurgie

Si la surveillance active, comprise avec un dosage de PSA trimestriel, une IRM tous les ans et une réévaluation stratégique annuelle inhérente des résultats obtenus, correspond aux hommes dépistés du cancer de la prostate à un âge précoce, c’est la radiothérapie qui est le traitement adapté aux hommes évoluant dans leur soixante-dizaine. Passé le cap des 75 ans, elle s’impose comme le traitement principal du cancer de la prostate. Somme toute, la chirurgie est également une autre alternative à la radiothérapie. À ce niveau, il est important de préciser que la radiothérapie n’est pas sans retombées notamment sur la vessie, le rectum ou encore le plan sexuel (la diminution de la libido), notifient les experts comme le docteur Jean Pierre Giolitto. Toutefois, ce traitement reste une solution fiable contre le cancer de la prostate.

Une prise en charge améliorée et conséquente

Fort heureusement, la prise en charge des patients souffrant de ce genre de pathologie s’est améliorée avec le temps. Non seulement peuvent-ils bénéficier de la radiothérapie ou de la surveillance active, mais ils peuvent aussi être traités à partir de l’hormonothérapie, le tout dépendant de l’état de la maladie et de la volonté du patient. Aujourd’hui, les barrières de ce type de cancer de la prostate reculent chaque fois un peu plus et c’est en soi un vrai miracle !