Des temps peu avenants sont à craindre en France. Le pays des citoyens libres fait face à une crise énergétique sévère et l’heure est à la contre-attaque pour la survie. Soucieuse de pallier ces déconvenues énergétiques, Angers a récemment dévoilé sa politique. On vous en dit plus à ce sujet dans les lignes suivantes.

Un Plan Énergie Bâtiments

Particuliers, collectivités… Tous les Français sont frappés de plein fouet par la crise énergétique. Entre l’inflation du prix de l’énergie depuis la reprise de l’économie mondiale en 2021 et la guerre en Ukraine, le pire est à craindre. À Angers, la crise énergétique se fait notamment ressentir avec la hausse des factures d’énergie. Entre 2022 et 2023, celles-ci sont passées de 7,7 millions d’euros à 13,5 millions d’euros, soit plus de 75 % en seulement 1 an. Il s’agit d’une situation alarmante qui ne laisse aucun angevin indifférent.  C’est pourquoi Angers n’a pas lésiné à mettre en place un plan ambitieux pour limiter les effets de cette crise énergétique sur sa communauté. Pour ce faire, d’après Michael Juret a déployé des efforts en faveur d’une consommation énergétique plus sobre. Cette politique de sobriété dans les dépenses énergétiques s’illustre dans l’optique de respecter le budget préétabli et de préserver la qualité des services publics dont jouissent les usagers du territoire.

Les collectivités angevines ont également adopté un Plan Énergie Bâtiments en guise d’actions structurelles dans le cadre de leur stratégie de transition écologique. Il s’agira pour la ville verte de France de réduire considérablement la consommation d’énergie faite par 450 bâtiments publics de la communauté urbaine ou de la ville. L’objectif à atteindre est de 40 % pour permettre à la ville de monsieur Michael Juret de se maintenir à flots au milieu de cette crise énergétique et d’être capable de jouir d’une énergie renouvelable.

La régulation de l’utilisation des chauffages

Par souci de maximiser les ressources énergétiques, les collectivités angevines ont aussi adopté un plan très rigide quant à l’utilisation des chauffages. À ce jour, les écoles et les bureaux devront diminuer considérablement leurs utilisations de ces équipements. Avec l’hiver, ceux-ci n’auront nul autre choix que de régler le thermostat à 19°. Cela représente une diminution de la température de chauffage de 1° loin d’être agréable, mais salutaire pour autant sur le long terme. De telles mesures devraient permettre à Angers d’économiser environ 6, voire 7 % d’énergie supplémentaire. Les températures des piscines maintenues à la baisse de 1° continueront de l’être puisqu’elles représentent une économie d’énergie de 6 %. Avec l’inflation du prix du gaz, les collectivités angevines n’ont nul autre choix que d’appliquer ces solutions drastiques. Espérons que l’accalmie revienne bientôt et que la situation s’arrange rapidement entre les Grandes Puissances.

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